Peplum

Pour clore l'été, nos amis Céline et Yann 

nous ont conviés à une fiesta spécial Peplum. 

Avec un tel thème, il fallait être à la hauteur, 

d'autant, puisque nous savions que nos hôtes

et leurs autres invités (une soixantaine)

allaient assurer.

Pour l'occasion, j'ai fait chauffé ma MAC

(comprendre ma Machine A Coudre !)

pour préparer ma tenue et celle de mon homme.

Pour lui, j'ai réalisé une toge, digne d'un sénateur romain, et sa cape pourpre...

...et pour moi, une robe façon Peplum, avec une cape et les bijoux assortis.

Pour compléter l'ensemble, je me suis fait une coiffure adaptée.

Nous avons passé une soirée mémorable. Merci les amis !

Dans l'Ile de Ré...

... mon île adorée, je t’emmènerai...",
chantait Claude Nougaro. 

Alors que les enfants continuaient leurs vacances chez leurs grands-parents, nous en avons profité pour nous faire une belle ballade sur cette île, à Ars-en-Ré, joli petit port que nous ne connaissions pas.

Dans le Pertuis

Après la Méditerranée, c'est l'Atlantique 

que nous avons retrouvé pour une virée

en semi-rigide avec mes frères.

Tournée des Grands Ducs en commençant

par un tour de Fort Boyard, laissé à

 l'abandon par la société de production 

de l'émission  du même nom,

après l'avoir passablement défiguré 

(voyez la plateforme à côté, on

croirait une plateforme pétrolière !).

On a bien regardé dans la tour, mais on n'a pas vu le Père Fouras !

Un petit passage dans le chenal d'entrée du port de Boyardville...

... avant d'accoster sur l'île d'Aix pour une visite rapide du village !

Porquerolles

Cette année encore, nous sommes allés 

faire un tour de l'île de Porquerolles, 

profitant en famille de ses belles eaux bleues 

et chaudes. Nous avons adoré plongé

avec masque, tuba et palmes pour voir

les petits poissons évoluant sous l'eau.

Seul MiniPirate, pas encore très à l'aise

dans le milieu aquatique, n'a pas voulu y

plonger la tête !

Vasarely - bis repetita

On l'a vu, au cours de l'année, 

les petits pirates ont travaillé avec

leurs maîtresses sur l'art cinétique. 

Rien d'étonnant alors que MiniPirate

me demande d'aller revoir la fondation 

Vasarely, que nous avions déjà visité

l'année dernière (voir ici). MaxiPirate

s'est joint à nous, mais TitiPirate 

n'a pas eu envie de nous suivre, gardant 

peut-être en mémoire le souvenir de 

la précédente visite qui ne s'était pas 

très bien finie pour lui.

 Et cette année, en plus des gigantesques tableaux de Vasarely, nous avons pu voir une exposition consacrée à l'artiste Cruz-Diez (un des acteurs majeurs et l’un des principaux représentants de l'art optique, il est né à Caracas, au Venezuela, le 17 août 1923, mais il vit et travaille à Paris depuis 1960 - Source : Wikipédia). Vous pouvez découvrir son travail en allant sur son site. 

Hors du temps

C'est l'impression que j'ai eu, lorsque j'ai décollé

à bord de ce bel oiseau au nom de Stampe.

Installée à la place avant, les cheveux au vent

(en fait, je les avais attachés...), j'ai volé 

pendant près de 30 minutes, portée 

 par un véritable sentiment de liberté.

J'ai repensé à la scène du film "Out of Africa", durant laquelle Robert Redfort emmène Merryl Streep à bord de son bi-plan (dans le film, il s'agissait d'un De Havilland Gipsy Moth).

Merci à mon homme de m'avoir permis ce vol en compagnie d'un ami de longue date à lui qui, non seulement a piloté l'avion, mais aussi (et surtout) l'a entièrement construit. 

Dans les airs

Ce qu'aiment les Pirates quant ils vont 

chez leurs grands-parents, c'est retrouver 

le grand trampoline installé dans le jardin. 

C'est l'occasion de passer du temps 

à rebondir, à tenter des sauts en tout genre et 

 à préparer des "pestacles" à présenter à la famille.

Et une bougie de plus...

... pour moi ! 

Merci Belle-Maman pour ce gâteau qui fut très bon !

A la montagne

Deux jours en montagne, au grand air, au vert, 

 à étudier le mouvement du ruisseau sur les cailloux,

 à marcher dans les herbes, à regarder les fleurs multicolores

  à observer le vol des papillons...

Ronde de nuit

Juste avant de partir en vacances, c’est un voyage

dans l’Histoire que j’ai effectué avec ma mère, ma sœur,

son mari et une de ses filles. Il a commencé au début du

Moyen-Age avec le récit de la vie d’Aufredy,

armateur rochelais et de sa femme, Dame Pernelle.

En 1196, Alexandre Aufrédy décide d'envoyer les sept navires de sa flotte commerciale à l'aventure vers les côtes africaines, chargés de sel et de vin. Les années passent, mais ses navires ne reviennent pas. Alexandre Aufrédy, ruiné, se voit obligé de vendre l'intégralité de ses biens, dont son hôtel particulier, pour payer ses dettes, et est réduit à la mendicité.  En 1203, il est sauvé de la misère par le retour inespéré de sa flotte commerciale qu'il croyait perdue, et dont la cargaison d'or, d'ivoire, d'épices et de bois précieux refait sa fortune. En remerciement au Ciel, il décide de consacrer sa vie et sa fortune aux pauvres, et fonde un hôpital portant son nom où, avec sa femme, il soignera les malades jusqu'à sa mort. L'hôpital devient militaire en 1808 et prend le nom d'hospice Aufrédy en l'An III. Les rues St Barthélémy et de la Charité furent réunies et devinrent également d'Aufrédy en l'An III. Une rue proche s'appelle la rue Pernelle, du nom de sa femme qui resta avec lui alors qu'elle aurait pu rejoindre sa famille qui était une famille noble de La Rochelle (Source Wikipédia).

Le voyage s'est poursuivi au cours des siècles en passant par l'époque d'Aliénor d'Aquitaine, celle du Siège de La Rochelle qui opposa le Cardinal de Richelieu au courageux maire de La Rochelle, Jean Guitton. Puis nous avons suivi des moines chantant du grégorien dans un cloître bien caché au cœur de la ville avant de retrouver un hôtel particulier de la Renaissance et celui d'Aimé-Benjamin Fleuriau, officier commensal de la Maison du Roi, dont le fils, Louis Benjamin  fut un géologue renommé au XVIIIe siècle. La visite se termine par le Bunker construit par les Allemands pendant la Seconde Guerre Mondiale 

Dès son arrivée à La Rochelle en juin 1940, l'armée allemande réquisitionne l'Hôtel des Étrangers, établissement de 75 chambres. En juin 1941, il est réservé à la marine allemande qui décide de construire un bunker, attenant à l'hôtel, pour servir d'abri en cas de bombardement (Source : ici).

Un grand merci à ma petite maman pour ce moment agréable passé en famille, 

plein de découvertes, d'anecdotes et de rires !  

Folies des élastiques

En juillet, mes pirates ont, eux aussi,

succombé à la mode des bracelets en élastique.

Patiemment, ils ont assemblé ces petits élastiques

colorés pour en faire de jolis bracelets multicolores

pour eux, bien sûr, mais aussi pour leur papa 

et leur maman.

Debout sur le zinc

Quand les vacances arrivent,

c'est aussi le temps où j'emmène mes Pirates

au concert dans le cadre des Franco Junior.

 

Cette année, c'est le groupe

Debout sur le Zinc

qui était au programme pour

chanter l'abécédaire de Boris Vian.

 

Nous avons passé un bon moment en compagnie de cette équipe de 6 musiciens-chanteurs-comédiens talentueux.

Source : Youtube

Fête du judo

Pour fêter la fin de l'année, Jean-Michel,

le moniteur de judo des Pirates (Titi et Mini)

avait organisé, le 5 juillet 2014,

une petite fête avec démonstrations

de judo réalisées par les élèves de

tout âge du club.

 

Si MiniPirate n'a pas voulu revêtir son

kimono pour y participer, en revanche,

MaxiPirate, qui en a fait entre l'âge de 7 et

9 ans, a repris du service, après m'avoir

informé qu'il souhaitait, à la rentrée,

abandonner le BMX et se remettre au judo.

 

 

Ce fut, là aussi, un bon moment passé à regarder les enfants évoluer,

dans le respect des règles du judo.

 

 

La soirée s'est poursuivie par un apéro et un barbecue,

permettant ainsi de prendre enfin le temps de faire connaissance avec les participants,

pendant que les enfants, sous la surveillance des parents, en profité pour jouer.

Reçu !!!

Il y travaillait depuis 5 ans, cumulant études et boulot.

Après d'innombrables allers-retours tous les 15 jours,

à plus d'1 h 30 de route de la maison,

après des heures et des heures penchées

sur ses cours, à tenter de comprendre des formules

de maths, de physique, de chimie... aussi

accessibles que des romans en chinois, à

apprendre des stratégies d'entreprise,

des théories d'économie, de finances,

de management...

après de nombreux partiels, souvent enchaînés

les uns aux autres, après trois soutenances (une par an,

les trois dernières années) dont le dernier présenté devant

un jury de 8 examinateurs...  

il est enfin parvenu au bout du chemin !

 

Je suis très fière de vous annoncer que mon homme

a enfin obtenu son diplôme d'ingénieur.